L’archéologue allemande qui donna son nom au musée dédia presque toute sa vie à l’étude des lignes de Nazca. C’est sa maison que l’on peut aujourd’hui visiter : on y a recompilé un certain nombre d’objets personnels, de ses croquis frénétiques, et quelques brèves explications sur les lignes elles-mêmes. Un peu plus loin, le planétarium Maria Reiche offre parfois des conférences sur les lignes, les géoglyphes, avec des informations plus précises que dans le musée.